Bethany.

 

Le premier acolyte de découpe, c'était le magazine de La Redoute, à l'époque où on payait encore en Francs.

 

Les collages naissent grâce à mes dix doigts. Ils sont faits de magazines de mode, de lambeaux d'affiches arrachés dans le métro, de papiers de soie, de fleurs, d'encres, et de ce qui me passera sous la main demain.
Rien n’est jamais ajouté ou modifié en post-prod virtuelle - j'y tiens dur comme fer.

 

Je découpe, colle, déchire et assemble des images et des mots - même si ces derniers ne se voient pas toujours.
Il s'agit d'exprimer une émotion, transcrire une sensation, ou illustrer une histoire douloureuse ou enchantée.
Ça se met généralement en place de manière intuitive, guidée par la façon dont les éléments résonnent les uns avec les autres. Le but, c'est que ça fonctionne. Ce qui prime, c'est la circulation du regard, et la continuité des lignes.


Vous pouvez m’écrire à partir du formulaire hautement renseigné disponible dans l'intitulé 'something to say?' ou, si vous n'aimez pas les sentiers battus, directement à l’adresse bethanymakespoetry(at)gmail(point)com.
Je prends les critiques constructives, les compliments, les déclarations d'amour, les propositions créatives à plusieurs mains, réponds aux questions liées à mon travail (n'hésitez pas, j'ai très sérieusement hâte de pouvoir ouvrir une rubrique F.A.Q.), et si vous brûlez d'envie d'acheter un de mes bébés, on peut aussi en discuter.